Evaluer un fonds de commerce pour la vente en gros

Évaluer la valeur d’un fonds de commerce du magasin de déstockage, c’est d’abord prendre en considération tous les éléments qui le composent, qu’ils soient corporels (comme le mobilier, l’outillage, les agencements et autres installations), ou incorporels, c’est-à-dire aussi bien la clientèle (les acheteurs en gros) et le nom commercial que le droit au bail. Mais si toute évaluation d’un fonds tient compte de tous ces éléments, à l’exception du stock qui, en principe, fait l’objet d’une estimation séparée, il n’existe pas de méthode unique ni absolue sur laquelle s’appuyer. En pratique, ce sont les bénéfices ou le chiffre d’affaires ou encore la valeur du droit au bail qui déterminent sinon le montant du prix du moins l’ordre du grossiste déstockeur, c’est-à-dire, suivant les cas et les secteurs d’activité, un pourcentage ou un multiple du chiffre servant de référence. Souvent, dans le souci d’atténuer des disparités conjoncturelles ou artificielles, c’est la moyenne du chiffre d’affaires réalisé au cours des trois dernières années qu’il paraît préférable de retenir. Mais cette base de calcul fait presque toujours l’objet d’une pondération, en fonction notamment de l’importance et de la qualité des éléments d’actif.
De même, si les débits de boissons comme les cafés bars peuvent être évalués entre 500 et 1000 fois le montant de leur recette journalière, le territoire géographique où ils sont situés, leur emplacement proprement dit, leur aménagement et leur notoriété viennent modifier la donne, justifiant des variations à l’intérieur (et quelquefois à l’extérieur) de cette «fourchette». Évaluer, c’est un peu jouer avec une série de facteurs...

Fructifier vos finance grâce au déstockage

Avoir décidé de se lancer dans les affaires, de créer sa propre entreprise du déstockage par exemple ou de reprendre un commerce existant, c’est d’emblée se placer dans la position de maître à bord. Autant dire que si vous êtes dans ce cas, vous voilà engagé pour de bon... dans l’univers de la construction nautique. Il va vous falloir créer ou «recréer» une embarcation, suffisamment solide pour braver les intempéries, mais facile à manœuvrer et capable de belles performances. C’est à la fois simple et très compliqué. Simple, parce que pour simplement démarrer votre projet, il suffit généralement de numéros de téléphone et de télécopie, d’adresses postales et mails... Compliqué, car vous allez en général devoir faire face à de très nombreuses difficultés, financières et humaines.
Hier, vous étiez peut-être une personne en cours de formation, un intermittent du chômage parmi beaucoup d’autres, ou un homme d’équipage avec d’un côté un grade et une rémunération, et de l’autre des responsabilités et des contraintes relativement limitées. Vous voilà aujourd’hui équipage à vous seul: skipper, homme de barre, équipier, vendeur en gros, les fonctions, y compris les corvées, ne vous sont pas forcément toutes connues. Le plus souvent, vous devez, non seulement réaliser les prestations de services et veiller au suivi des dossiers, mais encore tenir les comptes et être un grossiste déstockeur. La réussite n’est pas évidente: rares sont les personnes qui peuvent se targuer de l’atteindre, car il faut être performant sur toute la ligne! Il serait illusoire de penser qu’avoir l’idée d’un commerce et bénéficier du soutien «programmé» de quelques clients suffit. Il faut se montrer capable de prospecter et faire chaque jour l’expérience de la vente des lots du déstockage.
Ce domaine d’activité est en pleine expansion surtout après la crise, pensez à investir pour créer votre propre magasin du déstockage pour les particuliers, pour gagner plus d’argent et garantir un avenir meilleur.

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